Fédération d'Indre et Loire de la Libre Pensée
" Ni dieu, ni maître, à bas la calotte et vive la Sociale " Laïcité Loi de 1905
Libre Pensée – Fédération d’Indre et Loire Communiqué N°2 Religion : le ‘’Mea Culpa’’ de Sophie Auconie
Communiqué N°2 article du journal La Nouvelle République parue le 26 septembre 2018 édition Tours Agglo page 21 Religion : le ‘’Mea Culpa’’ de Sophie Auconie A propos des élus, des représentants de la République et de la participation aux cérémonies cultuelles...
RASSEMBLEMENT PACIFISTE du 11 Novembre 2018
RASSEMBLEMENT PACIFISTE NON A LA GUERRE, NON AUX OPEX RETRAIT DES TROUPES D’AFRIQUE DROIT DES PEUPLES A DISPOSER D’EUX-MÊMES JUSTICE POUR LES 639 SOLDATS FUSILLES POUR L’EXEMPLE DE 1914-1918, REHABILITATION NON A L’EMBRIGADEMENT DE LA JEUNESSE, NON AU...
Laïcité et loi de 1905 Y-a-t-il encore un pilote dans l’avion ?
– COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Laïcité et loi de 1905 : Le vol Elysée-07-05-2017 ne répond plus Y-a-t-il encore un pilote dans l’avion ? ■ Le 9 mai 2018 , la Libre Pensée s’est adressée à monsieur Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur pour lui demander de...
LIBRE PENSÉE Fédération d’Indre-et-Loire CONFERENCE PUBLIQUE JEUDI 8 NOVEMBRE de 18 à 20h
Thème de la conférence Service civique - service universel obligatoire - conscription - armée de métier - économie et dépenses d’armement - réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple de 1914-1918 L’exposé sera suivi d’une discussion. Salle...
Libre Pensée – Fédération d’Indre et Loire Déclaration transmise à La Nouvelle République
Libre Pensée – Fédération d’Indre et Loire Déclaration transmise à La Nouvelle République Les élus de la République, les représentants de l’Etat, les fonctionnaires d’état doivent respecter la loi de séparation des Eglises et de l’Etat du 9 décembre 1905....
: « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. »
Libre Pensée – Fédération d’Indre et Loire Madame le Préfet, La Libre Pensée agit pour faire respecter la laïcité, telle qu’elle a été définie par la loi de séparation du 9 décembre 1905. C’est la raison pour laquelle nous nous permettons de vous adresser...